Assainissement vôtre

 

La société AUXIMOB (l’Auxiliaire Immobilier), dirigée par Daniel CAS, intervient depuis plus d’un demi-siècle (création en 1969) sur toute la région qui entoure la ville d’Aix-en-Provence dans les Bouches du Rhône (13), son siège historique.

Elle emploie actuellement 15 salariés (12 techniciens et 3 administratifs) qui sont spécialisés sur l’ensemble des activités liées à l’assainissement (débouchage-curage; vidange ANC ; pompage résidus hydrocarburés ; contrôles et tests des réseaux ; maintenance industrielle) en ajoutant la 3D (Désinsectisation, Dératisation, Désinfection) sans oublier le dépigeonnage et l’enlèvement des tags. C’est donc une entreprise dotée d’une force de frappe élargie qui lui permet de répondre aux besoins multiples des clients. La pérennité de l’entreprise et la confiance des clients sont à ce prix.

Matériels professionnels

La variété des domaines d’interventions demande du matériel professionnel adapté. L’entreprise met à la disposition de ses salariés formés 10 hydrocureurs (3,5 à 26 tonnes) + 1 fourgon ITV + 4 véhicules légers.

L'adhésion à la FNSA est historique

Elle remonte à 23 ans (1997). Ainsi, AUXIMOB bénéficie d’informations et de services de première main pour s’adapter sans attendre à l’évolution constante de l’environnement légal et social. Les conseils personnalisés dédiés aux adhérents sont véritablement une plus-value certaine en temps et en argent. Enfin, l’exigence est source de qualité et de fidélité de la clientèle, AUXIMOB est titulaire de QUALITASS et est certifiée MASE.

Comment êtes-vous devenu un professionnel de l'assainissement ?

 

Dans les années 1950/1960, mon grand-père avait créé la société SEERC, spécialisée dans la conception, la réalisation et l’entretien de réseaux communaux d’adduction d’eau, mais également la production et la fourniture d’eau aux usagers.

A la fin des années 60, il a créé, au sein de l’entreprise, un service spécialisé en matière d’entretien des réseaux d’évacuation, qui se faisait jusque-là avec de simples tringles équipées de tire-bouchons.

Après quelques années d’utilisation d’un matériel « fait maison » (cuve à eau fixée au plateau d’un camion d’occasion tractant une remorque de marque ROLBA), il a cédé la SEERC à la Lyonnaise des Eaux, puis créé AUXIMOB, spécialisée en assainissement, sans aucun lien avec la SEERC.

L’entreprise s’est dotée de matériels performants et a toujours formé ses propres opérateurs.

  • En 1981, après avoir suivi des études supérieures sur Perpignan (DUT de Biologie Appliquée), puis Limoges (Mission pour l’Etude des Problèmes de l’Eau), j’ai intégré la société en apportant mes connaissances sur les stations d’épuration.
  • En 1984, j’ai créé et développé l’activité 3D au sein d’AUXIMOB.
  • En 2000, j’ai créé et assumé pendant 15 ans le contrôle des réseaux.

Depuis 5 ans, je suis le directeur de la société.

Qu'appréciez-vous dans votre métier ?

Même s’il est souvent difficile de concilier les besoins urgents des clients avec nos disponibilités, tant en moyens humains que matériels, il est toujours agréable de clôturer une journée de travail avec le sentiment d’avoir tout mis en œuvre pour répondre présent.

Je pense qu’avoir le sentiment du travail « bien fait » et n’avoir de compte à rendre qu’à soi-même n’a pas d’égal.

Comment voyez-vous l'évolution technologique, technique, humaine.. dans votre métier ?

Les moyens matériels dont nous disposons sont toujours plus pointus et performants, mais rien ne remplace l’analyse avisée d’un opérateur ou d’un technicien aguerri. C’est pour cela que nous formons nous-mêmes nos salariés.

Etes-vous investi dans une autre activité ?

Une anecdote marquante au cours de votre carrière ?
L'apport de la FNSA ?

Je n’ai pas d’autre activité professionnelle et consacre tout mon temps à AUXIMOB.

Il arrive bien souvent que nous nous trouvions dans des situations inattendues, complexes ou amusantes. C’est sur l’instant, au moment où on la vit ou qu’on la raconte, que la situation peut être intéressante.

Voici 3 anecdotes

1

Alors que j’inspectais par caméra un égout visitable de la ville de Marseille, et que chacun autour de moi allait de ses plaisanteries quant à la présence d’une importante colonie de rats « agressifs », mon robot d’inspection s’est soudain coincé. La seule solution était de descendre dans l’égout pour le libérer. L’euphorie de mon entourage est subitement retombée et j’ai pris mon courage à 2 mains pour affronter la « horde » de rats qui m’attendaient.

2

Sur un autre chantier, alors que mon robot s’était coincé dans une buse de collecte d’eaux-pluviales (Ø 600), je suis parti à sa recherche, à plat ventre sur 40m. Après l’avoir décoincé, comprenant que je ne pouvais pas faire demi-tour, j’ai décidé de poursuivre ma progression jusqu’au regard suivant. J’ai continué à plat ventre, mais j’ai été contraint d’avancer dans de l’eau à 0°C sur encore 30m. Comme il faisait -5°C à l’extérieur, j’ai mis plusieurs heures pour me réchauffer.

3

Alors que j’étais dans un vide-sanitaire d’immeuble en compagnie de notre chef de chantier et que nous avions préalablement informé le gardien de notre présence, puis balisé l’ouverture béante de l’accès, nous avons soudain entendu un bruit sourd. Nous avons continué notre visite des lieux puis, au moment de ressortir, nous avons constaté que la lourde dalle béton avait été refermée et que nous étions piégés A deux, nous avons fort heureusement réussi à soulever la dalle et nous extraire.

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